Pour revenir sur la question de la rusticité des alpines, moi qui élève par ordre d'effectif décroissant des poitevines, des alpines, des M.-C., et des Anglo-Nubiennes, je dois dire que ce sont incontestablement les alpines qui sont, de très loin, les plus fragiles, les plus exigeantes en terme de complémentation, et les plus sensibles au niveau du parasitisme. Et pourtant elles sont issues d'un élevage bio et herbager, non écornées, et ne sont pas mes meilleures productrices.